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Cyrano de Bergerac

Edmond Rostand

Editora: Maurice Rouam

Ano: 1947

Indisponível

    Esgotado

    REF: lt-1450 Categorias: , ,

    Descrição

    Ilustrações de Albert Dubout. Tiragem de 1626 exemplares numerados. Endernação em meia de pele.

    Edmond Rostand, né à Marseille le 1er avril 1868 et mort à Paris, 7e, le 2 décembre 1918 (à 50 ans), est un écrivain, dramaturge, poète et essayiste français.

    Il est l’auteur de l’une des pièces les plus connues du théâtre français, Cyrano de Bergerac. Il est, par ailleurs, le père de l’écrivain, biologiste et académicien français Jean Rostand.

    Edmond Rostand, Edmond Eugène Joseph Alexis Rostand de son nom complet, est né en avril 1868 au 14 de la rue Monteaux (devenue rue Edmond-Rostand) à Marseille1. Fils de l’économiste Eugène Rostand et arrière-petit-fils d’Alexis-Joseph Rostand, un maire de Marseille, il est issu d’une famille bourgeoise commerçante et banquière2.

    En 1880, son père mène toute sa famille, Edmond, sa mère et ses deux cousines, dans la station thermale en vogue de Bagnères-de-Luchon. Hébergés d’abord dans le « chalet Spont », puis dans la « villa Devalz », ils font ensuite édifier la « villa Julia », à proximité du casino3. Edmond Rostand passe plus de vingt-deux étés à Luchon, qui lui inspire ses premières Å“uvres. Il y écrit notamment une pièce de théâtre en 1888, Le Gant rouge, et surtout un volume de poésie en 1890, Les Musardises. C’est dans cette station thermale et touristique qu’Edmond Rostand se lie d’amitié avec un homme de lettres luchonais, Henry de Gorsse, avec lequel il partagea le goût pour la littérature.

    Après des premières études au lycée de sa ville natale, il se rend à Paris en 1884 pour les compléter au collège Stanislas pendant deux ans. Il écrit une pièce restée inédite, Les petites manies et une nouvelle en prose, Mon La Bruyère. Muni de son baccalauréat, son père le dirige vers l’école de Droit car il souhaite en faire un diplomate. Il passe sa licence, puis s’inscrit au barreau sans y exercer avant de se décider à se consacrer à la poésie4.

    En 1887, il présente à l’Académie de Marseille un essai sur deux romanciers provençaux (Honoré d’Urfé et Émile Zola) qui obtient le prix du Maréchal de Villars5. En 1888, avec son ami Maurice Froyez, journaliste parisien, ils se rendent au champ de course de Moustajon et ils y décorent leur équipage d’une abondance de fleurs des champs. Ils font sensation devant un établissement à la mode, le café Arnative, et improvisent en terrasse une joyeuse bataille de fleurs avec leurs amis. C’est ainsi que naît le premier « Corso fleuri », ayant traditionnellement lieu le dernier dimanche d’août à Luchon, et où le gagnant se voyait remettre une bannière.

    Le 1er avril 1888, il fonde avec son ami Maurice Froyez le « Club des natifs du premier avril », dont les statuts stipulent que ses membres jouiront à vie du privilège d’entrer gratuitement dans tous les établissements publics, opéras, théâtres, champs de course et maisons closes, de pouvoir rire aux enterrements afin de les rendre moins sinistres, de bénéficier à leur naissance du parrainage du chef de l’État et, en outre, de se voir attribuer un appartement de fonction dans un des Palais nationaux, résidence pourvue de tout le confort souhaitable et d’une domesticité jeune, accorte et complaisante6.

    Dans le train pour Montréjeau, son père fait la rencontre de Madame Lee et de sa fille Rosemonde Gérard (poétesse elle aussi, dont Leconte de Lisle était le parrain, et Alexandre Dumas le tuteur) et les invite à prendre le thé à la villa Julia. Le 8 avril 1890, Edmond épouse Rosemonde en l’église Saint-Augustin de Paris2.

    Rosemonde et Edmond Rostand auront deux fils, Maurice, né en 1891, et Jean, né en 1894.

    Edmond quitte Rosemonde en 1915 pour son dernier amour, l’actrice Mary Marquet.

    Edmond Rostand obtient ses premiers succès en 1894 avec Les Romanesques, pièce en vers présentée à la Comédie-Française et en 1897 avec la pièce La Samaritaine, mais la postérité retiendra surtout le succès de Cyrano de Bergerac, qui triomphe dès la première en 1897, alors qu’il n’a que 29 ans. En 1900, il connaît un nouveau succès avec L’Aiglon. Mal remis d’une pleurésie après la première représentation de cette pièce, il part, quelques mois après, en convalescence à Cambo-les-Bains. Séduit par le lieu, il y acquiert des terrains sur lesquels il fait édifier sa résidence, la villa Arnaga. Dans les années 1910, il collabore à La Bonne Chanson, Revue du foyer, littéraire et musicale, dirigée par Théodore Botrel.

    Pendant plusieurs années, il travaille irrégulièrement à la pièce Chantecler, dont la première a lieu le 7 février 1910. Après son relatif insuccès critique, Rostand ne fait plus jouer de nouvelles pièces. À partir de 1914, il s’implique fortement dans le soutien aux soldats français.

    Il est mort à Paris, le 2 décembre 1918, de la grippe espagnole, peut-être contractée pendant les répétitions d’une reprise de L’Aiglon.

     

    Albert Dubout, né à Marseille le 15 mai 1905 et mort à Saint-Aunès (Hérault) le 27 juin 1976, est un dessinateur humoriste et peintre français caractérisé par son trait contourné et ses personnages caricaturaux, petits messieurs à chapeaux et très grosses femmes en robes.

    Albert Dubout est né le 15 mai 1905 à Marseille. Après des études au lycée de Nîmes où il a pour camarade Jean Paulhan, puis à l’école des Beaux-Arts de Montpellier, où il rencontre sa première épouse, Renée Altier. Il monte à Paris à 17 ans. Ses premiers dessins sont sortis dans L’Écho des étudiants de Montpellier en 1923.

    En 1929, Philippe Soupault, directeur littéraire aux éditions Kra, lui fait illustrer son premier livre : Les Embarras de Paris de Boileau. Il effectue son service militaire à Saint-Cloud au 6e groupe GAA.

    Il illustre près de quatre-vingts ouvrages, dont dix-huit recueils de dessins, dont des livres de Boileau, Beaumarchais, Mérimée, Rabelais, Villon, Cervantes, Balzac (Les Cent Contes drolatiques), Racine, Voltaire, Rostand, Poe, Courteline et simultanément des textes officiels (code des impôts) et de nombreux romans (dont les « San Antonio »). Il donna des dessins pour Clochemerle de Gabriel Chevallier.

    Il collabore à divers journaux et revues dont Le Rire, Marianne, Éclats de Rire, L’os libre, Paris-Soir, Ici Paris…

    Il réalise aussi des affiches de cinéma et de théâtre ainsi que des décors. Il travaille dans la publicité, fait de la peinture à l’huile (il a réalisé soixante-dix tableaux), dessine de nombreuses couvertures de livres et des pochettes de disques, ainsi que de très nombreux dessins mêlant humour et pornographie.

    Au cinéma, il réalise d’abord deux courts films d’animation en 1947, Anatole fait du camping et Anatole à la tour de Nesles, qui mettent en scène le malingre Anatole et son adversaire, le brutal Sparadra. Il scénarise ensuite La Rue sans loi en 1950 et Anatole chéri en 1954 : ces deux films, qui transposent son univers graphique dans le « monde réel », sont des échecs commerciaux.

    En 1951, son nom apparaît dans le Petit Larousse. En 1953, le président Vincent Auriol le décore de la Légion d’honneur.

    En 1965, il illustre les Aventures de San-Antonio à la demande de Frédéric Dard.

    En 1967, il s’installe avec sa seconde épouse, Suzanne Ballivet, également artiste peintre, à Mézy-sur-Seine. Jusqu’à sa mort en 1976, il partagera son temps entre cette localité et Palavas-les-Flots. Dans ses caricatures, il s’est d’ailleurs souvent moqué du « petit train de Palavas » et des touristes se rendant dans la petite station balnéaire.

     

    Informação adicional

    Autor

    Editora

    Maurice Rouam

    Ano

    1947

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